Le roi !

*Arrive à cheval avec D'Artagnan*
*Descend et confie son cheval à un domestique*
*Va à la porte du chateau et se fait annoncer*
*Attend*

*Se fait annoncer le Roi par un domestique*
*Affiche un air des plus surpris*
*Méfiant*
*Va au-devant de lui*
*S'incline légèrement*

- Votre Altesse ? Que me vaut cette visite ?

*Le regarde assez froidement*

- j'ai faillis attendre !

*Lui rend un léger salue*

- Vous n'avez pas voulus venir à moi, alors je viens à vous !

*Le regarde de haut*

- Je veux vous parler du peuple.

*d'artagnan est a coté du roi*

*incline la tete*

*N'aime pas tellement la façon dont il le regarde*
*Parle froidement*

- Veuillez "m'excuser" de ne pas avoir daigné accepter votre "invitation" mais je préfère rester sur mes gardes.

*Jette un rapide coup d'oeil à D'Artagnan*
*Revient au Roi*
*Ne cille pas un seul instant*

- Le peuple ? Tiens donc, voilà qui est nouveau. Sa Majesté aurait-elle de nouveaux impôts à faire valoir sur ces pauvres gens ?

*Calme et assez froid*

- Non...Je veux régler ces problèmes tout de suite. Et vous êtes le mieux placé pour me dire ce dont il a besoin.

*Le regarde toujours dans les yeux*
*Ne veux pas admettre qu'il a besoin d'aide*

*Ne peut s'empêcher d'esquisser un sourire*
*Croise les bras*
*Rit*

- Oh, ainsi donc, sa grande Majesté a besoin de son cousin ? Ce n'est pas banal.

*Se reprend*
*Le regarde*

- Ce dont il a besoin ? Allons donc, êtes-vous si aveugle ? Il a besoin de reconnaissance. Baissez-vos impôts, qu'ils puissent acheter de quoi se nourrir correctement ! Mais il est vrai qu'à travers les grilles de votre château, on ne voit pas grand chose !

*Froid*

- Je vous interdis de me parler sur ce ton !

*Se reprend*

- Reconnaitre ce peuple méprisant ?! Et puis quoi encore ?

*Soupire*

- Ils n'ont donc aucune intelligeance pour comprendre que les impots sont pour leur bien ?

*Froidement*

- Je parle sur le ton qui me plaît. Que vous le vouliez ou non.

*Le regarde*
*Dégoûté*

- Des impôts pour leur bien ?! Pour VOTRE bien vous voulez dire. L'argent que vous leur soutirez sert à vos fêtes coûteuses au scandale ! Vous avez dit vouloir mon avis, vous l'avez. Si vous continuez comme vous le faites, le peuple se soulèvera de nouveau.

*Sourit légèrement*

- Et je serai aux premières loges pour voir cela.

*d'artagnan écoute leur conversation*

j'aurais mieux fait de rester au chateau...

*Le regarde méchamant*

- Vous prendriez une nouvelle fois la tête de la révolte ? C'est une menace ?

*Froidement*

- Bien...J'ai entendus votre avis...Mais...Il me semble que vous n'êtes pas aussi blanc que vous ne vouliez le dire ! Vous vivez dans un magnifique chateau ! Alors ne me faites pas croire que vous n'avez pas d'interrêt à voir le peuple se soulever. Moi mort, Philippe incomprétant, vous devenez le roi.

*Sourit*

- Si vous croyez duper le peuple; vous ne pouvez me tromper !

*Le regarde*
*Froidement*

- Je me moque de devenir Roi. Mais si c'est le Roi d'une France plus juste, alors si le peuple le veut je serai ce Roi là.

*Soupire*

- Et vous Sire, quels sont vos intérêts pour "aider" le peuple ? Vous craignez pour votre couronne ou pour votre vie ?

*Le regarde*

Touché !

*Ne montre rien*

- Je ne veux que le bien de mon peuple. Et s'il ne va pas bien, la France ne va pas bien. Mon interet est de garder une France en état de marche qui puisse montrer sa puissance face aux ennemis.

*Le regarde*

- Mais vous, ne serais-ce pas l'amour qui vous fait perdre la tête ? J'ai entendus dire que vous étiez aumoureux d'une des leur !

*Serre le poing*
*La regarde*

- Depuis quand vous intéressez-vous à ma vie ? Tant d'attention d'un coup, vous allez finir par me surprendre.

*Soupire*

- Le bien de votre peuple... Allons donc... Vous avez une drôle de façon de le faire aler bien. Un espagnol qui viendrait ici verrait bien à quel point la France va mal même si son peuple "paraît" heureux.

*Voit qu'il a touché un point sensible avec l'amour*

- bien...C'est donc cela ! Vous vous abaissez au niveau du peuple ! Vous ne valez rien Beaufort ! Comme votre mère !

*Sourit sadiquement*

- Mais je suis sure que mon peuple et la France iront mieux dès que certains problèmes seront réglés !

*Le regarde*
*Se retient pour ne pas l'étrangler*

- JE VOUS INTERDIS DE PARLER DE MA MERE, EST-CE CLAIR ?

*Froidement*

- Vous... Vous ne savez même pas ce qu'est vraiment aimer. Quant à vos problèmes, ne comptez pas sur moi pour vous aider à les résoudre !

*Essaie de garder son calme*

- Vous ne savez rien de moi ! Et pour votre gouverne, sachez que je sais ce qu'est aimer et être aimer en retour !

*Le regarde droit dans les yeux*

- Alors vous vous déclarez contre moi ? Je vous laisse une dernière chance de vous rachetez. Aidez moi et j'oublie que vous avez mener une révolte contre moi.

*Ne cille pas un seul instant*
*Froidement*

- Vous aider ? Et à quoi ? A asservir de pauvres gens qui meurent jour après jour à cause de votre égoïsme grandissant. Plutôt allez me faire pendre Place de Grève !

*Menaçant*

- Sortez de chez moi sur le champ.

*Le regarde froidement*
*Pred son sang froid*

- Vous ne me faites pas peur !

*Le regarde dans les yeux avec une leur de haine*

- Vous avez choisit votre camp ! Le prochain faux pas ce sera la Bastille pour vous et tous ceux qui vous sont proches...Cette femme aussi !

*Pose la main sur la garde de son épée*

- Beaufort, je vous savais fou, mais pas à ce point ! Vous voilà prévenu !

*Fait de même que lui*
*Séchement*

- Essayez, et vous trouverez à qui répondre. Je vous interdis d'approcher Isabelle. Faites-le, et je vous jure que j'oublierai que nous avons le même sang.

*Le regarde froidement*

- Mazarin a essayé Vincennes, me voilà devant vous aujourd'hui. Vous croyez vraiment que le Bastille m'arrêtera ?

*Le regarde*

- Alors vous mourez ! Je ne laisserais personne se mettre en travers de ma route, fus-ce un prince de sang !

*Serre sa main sur son épée*

- Et quand à moi, je ne concidère pas que nous avons le même sang ! Cela n'est pas possible ! Vous n'êtes pas digne d'appartenir à notre famille. VOus êtes un traitre Beaufort !

*Sourit sadiquement*

- Et elle s'appelle Isabelle...tient donc...cela est à retenir !

*Fulmine*

- Et vous vous êtes un monstre. Vous ne méritez même pas que l'on s'incline devant vous !

*Lâche son épée*
*Fait un pas en avant*

- Je ne vous laisserai pas la toucher. Je vous passerai l'épée en travers du corps avant même que vous ne l'effleuriez !

*Sourit*

- Oh...Monsieur me fait peur !

*Rit*

- Beaufort, l'amour vous perdra !

*Le regarde dans les yeux*

- Allez-y...Frappez...Vous rêvez de le faire, j'en suis sure !

Beaufort...allez, laissez vous emporter...la Bastille vous attend !

*Serre le poing*
*Le regarde froidement*

- Si vous saviez à quel point vous avez raison...

*Sourit méchamment*

- Mais bon, cela arrangerait vos affaires. Est-ce pour cela que vous avez eu peur au point de faire venir avec vous un mousquetaire ?

*Le regarde*

- C'est lui qui à voulus venir.

*Jette un coup d'oeil à D'Artagnan*

- Et sachez que je n'ai pas peur de vous ! Vous n'êtes rien !